Dans un arrêt du 23 septembre 2015 (n° 14-16.801), la chambre sociale de la Cour de cassation confirme sa jurisprudence (très) restrictive concernant le licenciement pour faute lourde. À défaut de pouvoir caractériser une intention de nuire à l’employeur, ce licenciement disciplinaire n’est pas justifié…
La CFDT du groupe de conseil numéro un en France raconte l'histoire sidérante d'une consultante licenciée cet été dans des conditions assez singulières. À partir du moment où elle est devenue jeune maman, sa progression de carrière a été interrompue.
La contribution participative du 16 septembre 2015, publiée par Jacques Cofard, a suscité une réaction justifiée de la direction de la rédaction d’Hospimedia.
Nous avons appris avec tristesse qu'un collègue s'est suicidé, suite à son licenciement pour absences injustifiées après l'annonce de la fermeture de la section noire d'Huntsman Tioxide Calais où il travaillait.
Son comportement était irrationel et malgré les tentatives de ses collègues et amis pour l'assister, rien n'aura pu le retenir de commettre l'irréparable.
En cas d’accident ou de maladie non professionnel, le salarié peut bénéficier d’un arrêt de travail : le contrat de travail est alors simplement suspendu. Toutefois, une absence prolongée ou des absences fréquentes peuvent entraîner le licenciement.
Une salariée, engagée en qualité de vendeuse, a été licenciée pour motif économique.
Contestant le bien-fondé de son licenciement, elle a saisi le Conseil des prud’hommes pour qu’il soit requalifié en licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Un arrêt du Conseil d’État (CE 27 mars 2015 n° 366166) vient de rappeler que l’autorité administrative (inspecteur du travail ou Ministre du travail) saisie d’une demande d’autorisation de licenciement d’un salarié protégé, doit être informée des mandats acquis par ce dernier après l'engagement de la procédure de licenciement.
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