Sur les 25 % de salariés français qui conduisent dans le cadre de leur activité professionnelle, la majorité le fait, en toute légalité avec un permis B, à bord d’un utilitaire léger ou d’une berline. Comment faire en sorte que l’activité de conduite qui concerne ces centaines de milliers de salariés qui ne conduisent pas des poids lourds soit véritablement considérée comme une activité professionnelle ?