Moins d’un an après avoir rendu sa décision si contestable sur la désignation des RSS et des DSC, la Cour de Cassation vient d’opérer un revirement complet !
La CGT lance une campagne à destination des parlementaires mais aussi des salariés pour que le texte de l'accord national interprofessionnel sur la compétitivité et la sécurisation de l'emploi ne soit pas transposé en l'état dans la loi.
La CGT débarque chez Microsoft avec en ligne de mire les élections professionnelles de juin. C’est 99 % de l’effectif de la section CFTC, soit une petite quinzaine de personnes, qui a décidé de changer de crémerie pour trouver « davantage de soutiens » dans les Hauts-de-Seine.
Une pétition circule pour interroger l’État actionnaire sur l’avenir de STMicroelectronics, avec les logos de la CGT, CFDT et la CFE-CGC. Seule la CGT aurait accepté la présence des logos des non-représentatifs au niveau national, que sont l’Unsa et FO. Une interprétation très large de la loi sur la représentativité.
Par un arrêt de la chambre sociale de la Cour de Cassation en date du 20 juin 2012 (Cass. soc., juin 2012, n° 11-15558), les hauts magistrats ont apporté un éclaircissement relatif aux modalités de désignation d’un représentant syndical au comité d’entreprise (RSCE) dans une entreprise comptant moins de 300 salariés.
La direction l’a décidé, en privant FO de signature, il n’y aura pas d’accord sur l’égalité entre hommes et femmes chez Distrilap (magasins Lapeyre), qui fait partie du groupe Saint-Gobain.
À partir de cette année, les 4,7 millions de salariés du 1,5 millions de TPE, vont voter tous les 4 ans pour un syndicat, sans pour autant s’engager sous une étiquette. Explications.
Le syndicalisme des médiateurs professionnels doit affirmer son identité et se donner les moyens de son action. Sa représentation au niveau européen est l'une des clefs de la reconnaissance de la profession de médiateur et de la représentativité de celle-ci.