La CFDT a signé avec la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) un accord minoritaire sur la réorganisation du temps de travail.
La CFDT a signé avec la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) un accord minoritaire sur la réorganisation du temps de travail.
Au bout de trois journées d’actions, la mobilisation a payé, avec de nouvelles propositions qui paraissent « moins pires » que le premier document. Notamment, les « nouvelles bases de dialogue » abandonnent le travail en 7h (donc moins 20 jours) pour ne parler que du 7h30.
Dans un premier temps, des hôpitaux sont passés de journées de 8h00 à du 7h36 ou 7h30, pour réduire le nombre de RTT.
Le lien entre les conditions de travail des agents et les conditions de prise en charge des patients est mis en avant par l’AP-HP dans son projet de réforme de l’organisation du travail source d’un mouvement social dont l’intersyndicale annonce deux nouvelles mobilisations, aujourd’hui et le 11 juin.
Comme le 21 mai, 8 000 agents de l’AP-HP ont manifesté le 28 mai devant le siège de l’AP-HP. Mais les manifestants ont cette fois poussé de la voix jusque sous les fenêtres de Marisol Touraine.
Le 2 juillet 2014, plusieurs syndicats de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP) signaient avec Martin Hirsch le protocole d'accord-cadre sur le dialogue social (SUD, CGT, CFDT, UNSA, SMPS et CFTC).
À l’appel d'une large intersyndicale AP-HP, 8 000 agents se sont rassemblés devant le siège de l'AP-HP, dont environ 800 manifestants venus de La Pitié-Salpêtrière, 500 de Saint-Louis, 300 de Lariboisière et 400 d’Henri-Mondor (Créteil). Le taux de grévistes dans les hôpitaux avoisinait les 50 %.
La négocition qui a été engagée en début d'année entre les syndicats et le nouveau directeur de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), Martin Hirsch, a abouti début juillet à la signature d'un accord sur le dialogue social qui pourrait marquer une évolution du climat social.
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