Protection de l’enfance : alerte au village d’enfants d’Amboise
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Après l’arrêt Molex rendu le 2 juillet 2014, la Cour de cassation maintient sa position jurisprudentielle restrictive en matière de co-emploi. Dans un arrêt rendu le 6 juillet dernier, la Haute Juridiction refuse de reconnaître la qualité de co-employeur à une maison mère, même si celle-ci s’est ingérée dans les affaires de sa filiale.
Les Britanniques ont fait le choix de la sortie de l’UE lors du référendum du 23 juin, avec une nette majorité (52 % contre 48 %, soit 1,3 million de voix de différence en faveur du Brexit). C’est la première fois qu’un pays décide de quitter l’Union européenne et il ne s’agit pas du plus petit ou du moins influent des États membres.
Le projet de loi relatif à « la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique » est actuellement en cours de discussions parlementaires.
L’ancien article L 321-2-1 du Code du travail, introduit par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, prévoyait que « dans les entreprises employant au moins 50 salariés où le CE n’a pas été mis en place alors qu’aucun PV de carence n’a été établi et dans les entreprises employant au moins 11 salariés où aucun délégué du personnel n’a été mis en place alors qu’aucun PV de carence n’a
Dans le contexte de la réforme du Code du travail, les exorbitants revenus pharaoniques des dirigeants des entreprises cotées en bourse suscitent une incompréhension quasi générale.
La clause de non-concurrence vise à interdire au salarié, après la rupture de son contrat de travail, l’exercice d’une activité qui porterait préjudice à son ancien employeur.
Pour être valable, la clause de non-concurrence doit prévoir une contrepartie financière. À défaut d’une telle contrepartie, celle-ci est nulle (Cass. soc., 18 septembre 2002, n° 99-46136).
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