Vrai sujet, vives interrogations et inquiétudes dans le contexte actuel où de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer (une nouvelle fois) sa suppression.
La Cour rappelle que, malgré les efforts du CESE, les saisines gouvernementales et parlementaires sont avant tout de la responsabilité du gouvernement et du parlement. Le CESE souhaite être davantage saisi par le gouvernement et le parlement.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a présenté son avis « Investir dans l’avenir : rebâtir un service public de l’enseignement supérieur ». ll appelle à un contrôle renforcé des établissements privés à but lucratif
Suite à la publication au rapport d’information de la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale relatif à l’activité du Conseil économique, social et environnemental et à la gestion de l’institution, publié ces jours-ci , le CESE tient à rappeler qu'il est pleinement mobilisé au quotidien pour remplir sa mission.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a adopté ce jour en séance plénière un avis (*) ( « L’évaluation des politiques publiques environnementales : un pilier démocratique à consolider ») qui appelle à renforcer l’évaluation des politiques publiques environnementales.
Alors qu’en France, 45% des adolescents sont potentiellement concernés par des troubles de l’anxiété, un chiffre en constante augmentation depuis 2021, le Conseil économique, social et environnemental (CESE), assemblée de la société civile organisée a décidé de se saisir du sujet et de le confier à sa commission des Affaires sociales et de la santé. Réunis pour leur deuxième session de travail, les jeunes ont rendu leurs conclusions.
Dans l'étude "Prévention en santé au travail: entre défis et perspectives" présentée au nom de la commission du travail et de l'emploi par Cécile Gondard-Lalanne, secrétaire nationale de l’Union syndicale Solidaires et Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB et Vice-Président de l’U2P au nom de la commission « Travail et emploi », le 8 avril dernier, le CESE propose neuf pistes de réflexion pour nourrir le débat.(1)
Alors que depuis 2020, la santé mentale des jeunes ne cesse de se dégrader, le gouvernement en a fait sa Grande cause nationale pour 2025. Une tendance en augmentation depuis 2017 où 11,7% des 18-24 étaient concernés par la dépression contre plus de 20% en 2020.
Tel est thème sur lequel le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE)s'est penché et a adopté la semaine dernière en séance plénière un avis intéressant (*) présenté sur proposition de la commission Économie et finances par Pascal Guihéneuf (membre du groupe de la CFDT, ingénieur Recherche & Développement et délégué syndical central CFDT chez Nokia.) et Michèle Salvadoretti (membre du groupe des Entreprises, représentante de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), Trésorière Nationale de Mobilians et directrice générale de la société Q-Park France.)