Maladies professionnelles, le rapprochement public/privé en panne
- Protection sociale parrainé par MNH
À l’occasion de la semaine pour la qualité de vie au travail du 16 au 20 juin 2014, Secafi (groupe Alpha) présente sa nouvelle collection de guides destinés à mieux appréhender les questions de santé et bien-être au travail.
Même un député UMP estime que le « burn-out » devrait être reconnu comme maladie professionnelle.
C'est ce que notre fédération a de nouveau réclamé lors du comité expert amiante du 11 mars.
L’appel à la reconnaissance du « burn-out » comme maladie professionnelle lancé le 22 janvier dernier par le cabinet Technologia comptabilise déjà plus de 3 100 signatures, dont celles de FO et de la CFE-CGC.
Depuis une dizaine d’années, le mot de burn-out s’est imposé dans le langage courant pour décrire l’épuisement professionnel des salariés. Tant que celui-ci touchait surtout les métiers à vocation (enseignants ou médecins), le sur-engagement paraissait presque aller de soi.
Un guide prenant en compte les décrets n° 2009-1546 et n° 2009-1547, relatifs au suivi post-professionnel pour la fonction publique d’État, a été présenté au CHSCT ministériel à Bercy mi-décembre.
Si la substitution (c’est-à-dire le remplacement des substances les plus nocives) n’est pas possible, l’employeur est tenu de mettre à la disposition de ses salariés des protections collectives (systèmes d’aspiration par exemple) et individuelles (masques, gants etc.).
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