Pas que des élus au PSE de la Société Générale
Le PSE prévoit la suppression de 880 postes dans la banque d'investissement (SGIB).
François Hollande a répondu le 16 avril à Hubert Flichy, président d’Avosial (une association qui regroupe plus de 350 avocats en droit social), qui s'inquiétait le 16 février dans une lettre ouverte de la tournure de l'arrêt de la Cour de Cassation (3 mai) sur Viveo.
Dès le lundi 26 mars 2012, un numéro vert permettait aux salariés de prendre rendez-vous avec l'espace emploi-mobilité chargé de reclasser le salarié dans l'entreprise ou de valider son projet de départ.
Ce standard était surchargé d'appels de salariés.
Aujourd'hui, le plan de départs volontaires a véritablement le vent en poupe dans le milieu des ressources humaines.
Hubert Flichy, président d’Avosial (une association qui regroupe plus de 350 avocats en droit social), a écrit une lettre ouverte aux candidats à l’élection présidentielle dans laquelle il partage les inquiétudes de la profession sur deux jugements de cour d’appel qui bloquent des PSE pour absence de motif économique.
Suite à la perte de gros contrats, XGS (filiale de Xerox, spécialisé dans la dématérialisation de documents), la direction « restructure » et lance, en octobre 2011, un plan de sauvegarde (ou plutôt de suppression ) d'emplois.
À partir du 2 avril 2013, les salariés de la banque de financement et d’investissement (BFI) vont pouvoir se porter volontaires à un départ dans le cadre d’un PSE qui prévoit 600 postes, soit près de 10 % de l’effectif de cette branche d’activité.
Prochainement, se tiendra à Lyon un colloque sur le dialogue social territorial. De tels colloques ont lieu régulièrement et j’ai participé à certains au nom du CODESPAR, comité de bassin d’emploi de Rennes (dont j’ai été le président).
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