Organisations
Obstruction à une visite de CHSCT chez Tioxide
Le 24 janvier se déroulait une réunion mensuelle du CHSCT. Ce dernier avait décidé d’effectuer une visite des unités de travail, conformément à l’article L. 4612-4 du Code du travail, bureaux, laboratoires, abords du bâtiment C, bâtiment B, bâtiment A, unité de sulfate de magnésium, abords de l’UTE et de la Magnolite.
Lors de la visite des laboratoires, nous avons eu la désagréable sensation d’être « collés aux basques » par le chef de service du laboratoire développement qui voulait visiblement provoquer le CHSCT, se positionnant d’emblée dans le passage, tel un « gardien du temple », jambes écartées, regard insistant démontrant une volonté manifeste d’en découdre.
C’est alors qu’un membre du CHSCT a enlevé ses lunettes un instant, juste pour dire bonjour à une collègue. Il a été sèchement réprimandé. Naturellement, le ton est vite monté et les mots ont dépassé les pensées.
Quel était le but recherché ? Car il apparaît désormais que cette attitude était bien préméditée. La visite a, de ce fait, été écourtée.
Vous aurez compris que le climat était tendu, d’autant plus que la présidente avait pris un autre engagement l’après-midi et souhaitait écourter la réunion, alors qu’une séance ne peut être levée avant que l’ordre du jour ne soit épuisé.
Cette réunion s’est tout de même tenue jusqu’au bout, sans pause déjeuner, de 8h30 à 14h30.
Ce climat reflète ce qu'il se passe en usine, on essaie de tenir pour responsables les salariés et leurs instances représentatives des difficultés à produire. C’est, au mieux détestable, au pire dangereux car la révolte gronde…
Lors de la visite des laboratoires, nous avons eu la désagréable sensation d’être « collés aux basques » par le chef de service du laboratoire développement qui voulait visiblement provoquer le CHSCT, se positionnant d’emblée dans le passage, tel un « gardien du temple », jambes écartées, regard insistant démontrant une volonté manifeste d’en découdre.
C’est alors qu’un membre du CHSCT a enlevé ses lunettes un instant, juste pour dire bonjour à une collègue. Il a été sèchement réprimandé. Naturellement, le ton est vite monté et les mots ont dépassé les pensées.
Quel était le but recherché ? Car il apparaît désormais que cette attitude était bien préméditée. La visite a, de ce fait, été écourtée.
- Un rappel à la loi s’impose dans de telles circonstances
Vous aurez compris que le climat était tendu, d’autant plus que la présidente avait pris un autre engagement l’après-midi et souhaitait écourter la réunion, alors qu’une séance ne peut être levée avant que l’ordre du jour ne soit épuisé.
Cette réunion s’est tout de même tenue jusqu’au bout, sans pause déjeuner, de 8h30 à 14h30.
Ce climat reflète ce qu'il se passe en usine, on essaie de tenir pour responsables les salariés et leurs instances représentatives des difficultés à produire. C’est, au mieux détestable, au pire dangereux car la révolte gronde…
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