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Enjeux énergétiques : le point de vue de la CFE-CGC
À l’heure où les interventions se multiplient sur le dossier (ô combien passionnel !) du nucléaire, la CFE-CGC, soucieuse de l'intérêt national, souhaite aborder le débat avec pragmatisme, dans le sens de l’intérêt général avec une vision industrielle à long terme.
La politique énergétique du pays, qui engage la compétitivité du territoire français, le niveau de vie de nos citoyens, la sécurité des approvisionnements énergétiques, le développement de filières industrielles pourvoyeuses d’emplois hautement qualifiés et de forces de recherche et développement, d’innovation dans la compétition mondiale, mérite mieux que les débats actuels. La CFE-CGC exige que la politique énergétique du pays soit le résultat d’un véritable débat de fond, sérieux, étayé par des analyses approfondies et intégrant l’ensemble des aspects, y compris économiques et sociaux.
Une sortie rapide du nucléaire engendrerait :
Par ailleurs, la substitution d’une part significative du nucléaire par des énergies renouvelables nécessiterait l’installation de nouveaux moyens souples de production pour compenser l’intermittence des énergies renouvelables, c'est-à-dire de moyens de production à base d’énergie fossile (gaz-fuel-charbon). Elle impliquerait donc une :
Tant pour la croissance et l’emploi que pour la préservation de la planète, le développement d’une politique d’efficacité énergétique, gage de transition vers un modèle sociétal marqué par la sobriété énergétique favorisant le développement de filières industrielles françaises, doit constituer une priorité absolue.
Cette politique énergétique, socialement acceptable, construite sur les principes défendus par la CFE-CGC, garantira à la France et aux citoyens un mélange énergétique fiable, respectueux de l’environnement à un coût raisonnable.
La politique énergétique du pays, qui engage la compétitivité du territoire français, le niveau de vie de nos citoyens, la sécurité des approvisionnements énergétiques, le développement de filières industrielles pourvoyeuses d’emplois hautement qualifiés et de forces de recherche et développement, d’innovation dans la compétition mondiale, mérite mieux que les débats actuels. La CFE-CGC exige que la politique énergétique du pays soit le résultat d’un véritable débat de fond, sérieux, étayé par des analyses approfondies et intégrant l’ensemble des aspects, y compris économiques et sociaux.
Une sortie rapide du nucléaire engendrerait :
- une augmentation rapide du coût du kW/h électrique pour nos citoyens et nos entreprises,
- une fragilisation de l’équilibre du système électrique européen,
- des conséquences dramatiques en termes d’emplois,
- l’abandon d’une filière où la France possède un savoir-faire technologique reconnu internationalement,
- un affaiblissement de l’indépendance énergétique du pays.
Par ailleurs, la substitution d’une part significative du nucléaire par des énergies renouvelables nécessiterait l’installation de nouveaux moyens souples de production pour compenser l’intermittence des énergies renouvelables, c'est-à-dire de moyens de production à base d’énergie fossile (gaz-fuel-charbon). Elle impliquerait donc une :
- augmentation des émissions des gaz à effet de serre,
- dégradation de la balance commerciale (achat de combustibles),
- dépendance énergétique accrue vis-à-vis de nos fournisseurs.
Tant pour la croissance et l’emploi que pour la préservation de la planète, le développement d’une politique d’efficacité énergétique, gage de transition vers un modèle sociétal marqué par la sobriété énergétique favorisant le développement de filières industrielles françaises, doit constituer une priorité absolue.
Cette politique énergétique, socialement acceptable, construite sur les principes défendus par la CFE-CGC, garantira à la France et aux citoyens un mélange énergétique fiable, respectueux de l’environnement à un coût raisonnable.
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