65 % des accords de prévention des risques psychosociaux créent des comités ad hoc chargés de piloter, puis souvent de suivre les actions définies.

En réunissant le plus souvent RH, managers opérationnels, médecins du travail, représentants de salariés, ces comités protéiformes peuvent permettre de croiser les regards sur le travail et de libérer la parole dans un cadre moins formel que celui des CHSCT ou des CE.