Les accords prévention du stress et des risques psychosociaux créent en majorité des comités ad hoc chargés de piloter, puis souvent de suivre les actions. L’occasion de croiser les regards de managers opérationnels, de médecins du travail et de représentants de salariés sur le travail dans un cadre moins formel que celui des CHSCT. La difficulté reste d’articuler et de coordonner l’action entre ces différents comités.