Avec un PSE concernant la totalité de son effectif, l'équipementier automobile Mahle profite de la transition environnementale et énergétique pour tenter de justifier sa politique de délocalisation (...)
Une politique en faveur des relocalisations ne doit pas entraîner le rapatriement de productions à l’identique ou à faible valeur ajoutée, qui ne seraient pas compétitives et pérennes sur notre territoire (...)
À peine un mois après la signature d’un accord de rupture conventionnelle collective (RCC) portant notamment sur 600 postes dans les fonctions support, Sanofi a annoncé, le 4 avril, sa volonté d’externaliser et de délocaliser un grand nombre de ces activités.
STIF, Engie, GoVoyages, Deliveroo... : la mode chez les entreprises capitalistes est plus que jamais à la délocalisation. Heureusement, certaines sociétés (comme la SFAM ou Teletech) choisissent au contraire de recruter en France. Et bien leur en a pris.
Les salariés de Castorama et Brico Dépôt (filiales du groupe britannique Kingfisher) s'étaient mobilisés le 1er décembre contre la délocalisation en Pologne de services administratifs de leurs entreprises. Ils ont adressé une lettre ouverte au Président Emmanuel Macron pour que le gouvernement intervienne contre « la fuite du travail ».
Automobile : séparer production et recherche est devenu contre-productif
Alors que de plus en plus d’entreprises s’attaquent à la délocalisation de leurs activités de recherche et développement, le groupe de travail automobile (GTA) de FO métaux, qui milite pour une logique de filière et le maintien de l’industrie sur notre territoire, a sorti une synthèse de ses réflexions sur le sujet.