Les membres du SECI Vitalaire sont interloqués par le positionnement du groupe Airliquide sur les Risques Psychosociaux associés à l''absence d'accompagnement des mobilités internes ouvertes pendant le PSE.

Dans notre filiale santé à domicile nommée Vitalaire, notre direction vient de licencier une manager avec comme motif : l'absence nuit au bon fonctionnement de la société entière.


Ces arrêts de travail ont été justifiés par les différents médecins consultés. Pour rappel, Vitalaire a instauré un PSE en 2024. Dans le cadre de cette restructuration, la salariée en question a  appris début juin 2024 qu'elle incorporera un nouveau service une semaine plus tard, du fait de la suppression de son poste. Lors de l'intégration,  l'accompagnement fut très sommaire. Après 3 semaines dans ce nouveau service, elle a eu son premier arrêt de travail de 2 semaines suivi de 4 semaines de congés. A son retour elle a dû gérer la totalité du service toute seule.


Comment voulez-vous que cette salariée ne puisse pas être en arrêt pour mal être psychologique ?


Une communication sur les mouvements d'effectifs suite au PSE a été mise à jour le 8/07/24 dans un drive partagé par plusieurs personnes de la direction. Il était indiqué qu'une salariée désignée par le PSE sortirait des effectifs à fin décembre sauf si la collaboratrice licenciée démissionnait. La direction espérait sans doute s'en tirer à bon compte sans en arriver au licenciement !


Une autre manager arrivée dans ce même service en octobre 2024 pour les mêmes raisons et ayant accompagné la fermeture de son service précédent, vient d'être déclarée inapte à tous postes dans l'établissement !  Pensez-vous que c'est un hasard ?