Les tables contenant les données personnelles, salaires, absences et congés des 48 000 agents de la Société Générale vont être transférées à un prestataire dont les applicatifs assureront prochainement la gestion de la paie. C’est « un transfert de fichiers confidentiels à l’extérieur et donc un motif de licenciement pour faute grave », estime la CGT qui ne se satisfait pas de l’argument selon lequel les données seront en partie cryptées. Pour le syndicat, « la garantie de confidentialité est tellement fiable que les données des dirigeants sont exclues du transfert ».