Organisations
Développement durable : 630 entreprises éjectées par l’ONU
L’ONU tape du poing sur la table : 630 entreprises ont été exclues de son programme Global Compact (Pacte mondial, en français) depuis janvier. Motif : une absence totale de communication sur une action de progrès dans le domaine de l’environnement ou du social depuis trois ans.
Parmi les sociétés sanctionnées, 71 sont françaises. On trouve sur la liste Manpower France, Fiat France, Altedia, Schindler…
Le Global Compact a été lancé en juillet 2000 par Kofi Annan, alors secrétaire général de l’ONU. Les adhérents s’engagent à respecter dix principes touchant l’environnement, les droits de l’homme, les normes du travail et la lutte contre la corruption. Chaque année, ils doivent rédiger un exemple de bonne pratique et le mettre en ligne sur le site du Global Compact pour rendre compte de leurs progrès et partager leurs expériences.
4619 entreprises de près de 120 pays adhèrent au programme, qui rassemble aussi 1300 non entreprises (associations…). En France, le Global Compact compte 490 membres (dont 44 non entreprises). 52% des sociétés adhérentes ont moins de 500 salariés. La moitié des bonnes pratiques sur lesquels elles s’engagent concernent l’environnement.
Les critiques sur le manque d’engagements concrets de nombreuses entreprises à pousser le Global Compact à mettre en place une « politique d’intégrité » afin de sanctionner les adhérents qui utilisent l’image de l’organisation mais ne respectent pas sa charte.
Si une entreprise ne communique pas sur une action de progrès une année, elle est considérée comme « non communicante ». Si cela se reproduit l’année suivante, elle est classée comme « inactive ». Ce n’est qu’au bout de trois ans de silence qu’elle est radiée de la liste. Outre les 630 sociétés exclues depuis janvier, 317 sont aujourd’hui dans la catégorie des «inactives», dont 184 pourraient être radiées d’ici à la fin de l’année.
Parmi les sociétés sanctionnées, 71 sont françaises. On trouve sur la liste Manpower France, Fiat France, Altedia, Schindler…
Le Global Compact a été lancé en juillet 2000 par Kofi Annan, alors secrétaire général de l’ONU. Les adhérents s’engagent à respecter dix principes touchant l’environnement, les droits de l’homme, les normes du travail et la lutte contre la corruption. Chaque année, ils doivent rédiger un exemple de bonne pratique et le mettre en ligne sur le site du Global Compact pour rendre compte de leurs progrès et partager leurs expériences.
4619 entreprises de près de 120 pays adhèrent au programme, qui rassemble aussi 1300 non entreprises (associations…). En France, le Global Compact compte 490 membres (dont 44 non entreprises). 52% des sociétés adhérentes ont moins de 500 salariés. La moitié des bonnes pratiques sur lesquels elles s’engagent concernent l’environnement.
Les critiques sur le manque d’engagements concrets de nombreuses entreprises à pousser le Global Compact à mettre en place une « politique d’intégrité » afin de sanctionner les adhérents qui utilisent l’image de l’organisation mais ne respectent pas sa charte.
Si une entreprise ne communique pas sur une action de progrès une année, elle est considérée comme « non communicante ». Si cela se reproduit l’année suivante, elle est classée comme « inactive ». Ce n’est qu’au bout de trois ans de silence qu’elle est radiée de la liste. Outre les 630 sociétés exclues depuis janvier, 317 sont aujourd’hui dans la catégorie des «inactives», dont 184 pourraient être radiées d’ici à la fin de l’année.
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