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Carrefour : les emplois sur la sellette ne sont pas ceux auxquels on pense
Le 9 février, Carrefour a reconduit son accord GPEC. Quels sont donc les emplois à risque ? Les emplois d'hôtesses de caisses ne sont pas sur la sellette au sens de la GPEC. A l'heure où l'on parle du développement des caisses automatique cela peut sembler paradoxal. En moyenne, cette automatisation va supprimer 4 à 5 postes sur chacun des 200 magasins. Le turnover important enregistrée sur ces postes devrait permettre d'absorber sans problème cette automatisation.
Selon FO, les emplois à risque qu'il faut dés maintenant intégrer dans la GPEC sont ceux des encadrants en poste dans les magasins. Le déploiement du programme informatique de gestion baptisé MBC (Modèle Back-office Carrefour) risque en effet d'avoir un impact sur la « structure humaine » du fait de ses gains de productivité. Et chez les encadrants, le turnover est bien plus faible qu'au niveau des caisses.
- Le sort d'une partie des métiers du service après vente est déjà scellé après une GPEC express qui a débouché sur un accord de méthode dont les modalités sont contestées en justice par deux comités d'établissement. Comment Carrefour conjugue une approche globale avec les spécificités locales sur la GPEC et l'accord de méthode ? Un décryptage dont l'accès est conditionné à un abonnement ou à un paiement à l'unité.
Selon FO, les emplois à risque qu'il faut dés maintenant intégrer dans la GPEC sont ceux des encadrants en poste dans les magasins. Le déploiement du programme informatique de gestion baptisé MBC (Modèle Back-office Carrefour) risque en effet d'avoir un impact sur la « structure humaine » du fait de ses gains de productivité. Et chez les encadrants, le turnover est bien plus faible qu'au niveau des caisses.
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