Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, vient d’annoncer son intention de remettre en cause le repos dominical et menace ainsi de nombreux emplois dans le commerce.
L’enjeu de l’ouverture des magasins le dimanche à Paris dépasse le simple cadre national car s’y joue, selon ses défenseurs, l’image de la France par rapport aux grandes capitales européennes. Un argument qui ne touche pas le Clic-P, l’intersyndicale du commerce à Paris qui fédère plusieurs organisations syndicales (CFDT, CGT, SUD, CFE-CGC et UNSA).
Pourtant, l’exécutif parisien aura tout tenté. D’abord le mépris en ne recevant pas les grévistes.
Alors que le projet de loi Macron tente de réglementer le travail dominical et a des difficultés à passer devant l’Assemblée nationale, la Cour d’appel de Versailles, dans un arrêt du 12 février 2015, vient de condamner la société Bricorama à liquider une astreinte provisoire de 500 000 € pour avoir ouvert certains magasins le dimanche.
« Je rappellerai simplement la position officielle du Parti socialiste quand il était dans l'opposition », a ajouté le vice-président du syndicat des travailleurs chrétiens.
C’est que l’on appelle un petit coup en douce.
Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, vient d’annoncer son intention de remettre en cause le repos dominical et menace ainsi de nombreux emplois dans le commerce.
Réagissant à l'appel de Bibliothèques Sans Frontières (BSF) pour une ouverture accrue des bibliothèques, des professionnels mettent en avant, dans une autre pétition, la priorité à accorder à une amélioration de la qualité globale et des moyens attribués aux établissements.
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