Moins de 30 minutes pour manger au boulot pour la moitié des salariés de la RATP
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C’était un superbe coup médiatique mais finalement peut-être pas très éthique au niveau syndical.
Le 13 mars dernier, le syndicat CFDT a distribué des milliers de tracts aux usagers du métro parisien afin de les alerter sur la pollution aux particules fines. Une opération guère du goût du syndicat Sud-RATP qui a dénoncé dans un communiqué la récupération de son travail syndical.
Raymond M O N E D I
Dans un appel, les syndicats demandent aux pouvoir publics de limiter au maximum les expositions dans les espaces de travail.
Le débat aura beau avoir été escamoté à l’Assemblée nationale, il n’échappera pas aux questions que se pose le monde du travail.
L'inspection du travail avait refusé le licenciement de Mourad Ghazli, ex-responsable juridique de l’Unsa commercial et passé au SATRATP, qui dénonce les magouilles et harcèlements sexuels commis au niveau du CE de la branche commerciale où son ancien syndicat était majoritaire.
Les efffets des ondes électromagnétiques sur la santé des salariés continue d’opposer syndicats et employeurs. Souvenons-nous des débats engagés à la Mairie de Paris après le déploiement des bornes wi-fi dans les bibliothèques municipales.
Certains candidats à l'élection présidentielle ont repris une vieille lune du patronat, consistant au nom de l’augmentation du pouvoir d’achat à baisser les cotisations sociales versées par l’employeur.
Alors que la proposition de loi du Député du Nouveau Centre Nicolas Perruchot sur la transparence des comptes des comités d'entreprise * est discutée en ce moment à l'Assemblée nationale, le CE de la RATP se lance dans un drôle de zèle.
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