Financements de la campagne de l'élection TPE : distorsion de traitement en justice
Les frais de campagne pour l'élection dans les TPE en avril ont été connus à l'occasion d'une procédure devant le tribunal administratif. Les grandes confédérations ont touché vingt fois plus que et les autres organisations (CNT, CAT, UNSAP...). Ce qui suscite d'autres procédures administratives (...)
Le droit à la déconnexion est un sujet obligatoire de la négociation annuelle sur la qualité de vie au travail en 2017. Négocier ne signifie pas aboutir à la signature d’un accord.
Le 3 février dernier a été rendu public le résultat de l’élection dans les très petites entreprises (TPE) qui se tenait, par correspondance et par internet, du 31 décembre au 13 janvier dernier.
Alors que le Parlement débat de « la sécurisation de l'emploi » qui vise à transposer dans la loi l’accord national interprofessionnel du 11 janvier dernier, les dispositions relatives au temps partiel qu’il contient sont présentées, par nombre de commentateurs, comme une avancée sociale majeure (en particulier pour les femmes qui représentent 85 % des travailleurs à temps partiel).
Le gouvernent laisse régulièrement et sciemment fuiter des rumeurs sur la mise en place d'une « TVA sociale ». Sous ce nom qui semble évoquer un progrès se cache en réalité un nouveau montage financier au profit des possédants.
L’Unac, le premier syndicat des hôtesses et stewards d’Air France avec 26 % des voix aux dernières élections, s’est désolidarisé du mouvement de grève qui court jusqu’au 2 novembre.
Centrapel, entreprise sous-traitant de la hotline de Free, a voulu jouer la carte de la répression syndicale, pensant qu'elle pourrait facilement éliminer la présence de la CNT en son sein. Une nouvelle fois, une section CNT sort renforcée des démêlés que la direction a voulu imposer.