« Les coachs aident leur clientèle à s'adapter à l'entreprise alors qu'eux-mêmes ont tiré un trait sur le salariat » - Vincent de Gaulejac
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Un rassemblement, d’une centaine de personnes, était organisé devant l’agence régionale de santé,une délégation de 13 salariés a été reçue.
Une délégation de la maternité des Bluets-Hôpital Pierre Rouques a été reçue à l’Agence Régionale de Santé, jeudi 8 mars 2012, par François Cremieux, directeur du pôle établissements de santé de l'ARS, et Sophie Lebris.
La conciliation face à l'Agence Régionale de Santé (ARS) n’a pas abouti. Menacé de liquidation judiciaire et de cessation de paiement, dans de telles conditions, l’Institut de Puériculture et Périnatalogie (IPP) de Paris perdrait : ses offres de soins, 350 emplois, 3 600 patients. Les conséquences seraient critiques.
À première vue, l’organisation du travail s’avère propice à des gains de productivités accrus qui s’accompagnent souvent d’une intensification de l’activité, à l’instar d’une flexibilité des temps de vie, par là même, du sens accordé par l’acteur à « son » travail.
Une récente enquête du Syndicat des Manageurs publics de Santé (SMPS) indique que nombre de directeurs d'hôpitaux vivent mal le fait d'être placés sous l'autorité d'un directeur général d'ARS, parfois « très directif », « loin du terrain » et exerçant « une forte pression sur les économies à réaliser ».
Le 15 mars dernier, les salariés de droit privé (20 % des effectifs) des 26 agences régionales de santé (ARS) ont élu les délégués du personnel. Au global, la CFDT, FO et la CFE-CGC arrivent en tête avec respectivement 23,03 %, 23,58 %, 20,99 % et 10,61 % des voix.
Suivent des résultats d'alliances plus locales.
Les premières élections professionnelles depuis la création des agences régionales de santé (ARS) ont eu lieu le 15 mars 2011. Les agents des 26 ARS élisaient leurs représentants au sein des comités d'agence.
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