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L’affaire d’espionnage change de cap et M. Pélata admet une autre hypothèse, celle d’une manipulation contre l’entreprise.
L’affaire n’est pas encore terminée et l’enquête continue, mais tout semble se dégonfler. La CFE-CGC, qui a en son temps assisté deux des trois cadres lors de leurs entretiens préalables, approuve fortement leur possible réintégration.
Lors de l’annonce par Renault en novembre 2010 du dispositif de dispense d’activité au titre de la pénibilité d’environ 3 000 salariés, la CFE-CGC avait réclamé un plan de recrutement en parallèle. Ce plan pour 2011 à 2013 est enfin annoncé et correspond aux attentes de la CFE CGC, qui a été entendue par la direction générale. C’est un ballon d’oxygène !
La direction de Renault affirme que tout à été fait dans les limites de la loi informatique et liberté sur le recueil des données personnelles dans l'affaire des trois cadres soupçonnés de corruption.
C'est au moment où la direction de Renault négocie les règles de confidentialité des informations stratégiques de l'entreprise à l'égard de ses syndicats que sort cette affaire sur
Les représentants des syndicats qui siégeront à « l'instance paritaire de dialogue sur la stratégie », que propose de mettre en place la direction de Renault dans le cadre de son accord GPEC, se seront préalablement engagés par écrit « à ne communiquer aucune information écrite ou orale donnée dans le cadre de cette instance ».
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