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Affaire Renault : la CFE-CGC approuve le principe d’une réintégration des cadres injustement accusés
L’affaire d’espionnage change de cap et M. Pélata admet une autre hypothèse, celle d’une manipulation contre l’entreprise.
L’affaire n’est pas encore terminée et l’enquête continue, mais tout semble se dégonfler. La CFE-CGC, qui a en son temps assisté deux des trois cadres lors de leurs entretiens préalables, approuve fortement leur possible réintégration.
- Cette démarche devra être impérativement accompagnée d’indemnités de réparation pour préjudices moraux qu’ils ont subis, ainsi que leurs proches.
La CFE-CGC demande au procureur de Paris de faire le nécessaire pour que l’enquête aboutisse rapidement. Les salariés attendent en effet les résultats officiels avec impatience de façon à pouvoir faire leur travail au sein d’une entreprise retrouvant enfin sa sérénité.
Parallèlement, la CFE-CGC exige que le conseil d’administration se réunisse au plus tôt pour entendre rapidement les explications de MM. Ghosn et Pélata et que chacun prenne la mesure de ses responsabilités.