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La validation des acquis de l’expérience en baisse dans les ministères certificateurs
La Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) du ministère du Travail vient de rendre publique une étude (*) consacrée à la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les ministères certificateurs en 2015.
En 2015, année de référence pour cette étude, 60 000 dossiers de candidatures à un titre professionnel délivré par un certificateur ministériel ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience. Ainsi, 41 400 candidats se sont présentés devant un jury en vue d’obtenir tout ou une partie d’un titre ou d’un diplôme et, parmi eux, plus de 24 600 candidats ont obtenu une validation totale.
Il ressort que ces chiffres sont en baisse depuis 2011.
Depuis la mise en place du dispositif en 2002, un peu plus de 330 000 personnes ont obtenu une certification ministérielle par la voie de la validation des acquis de l’expérience.
Quelques éléments à retenir
En 2015, année de référence pour cette étude, 60 000 dossiers de candidatures à un titre professionnel délivré par un certificateur ministériel ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience. Ainsi, 41 400 candidats se sont présentés devant un jury en vue d’obtenir tout ou une partie d’un titre ou d’un diplôme et, parmi eux, plus de 24 600 candidats ont obtenu une validation totale.
Il ressort que ces chiffres sont en baisse depuis 2011.
Depuis la mise en place du dispositif en 2002, un peu plus de 330 000 personnes ont obtenu une certification ministérielle par la voie de la validation des acquis de l’expérience.
Quelques éléments à retenir
- Les femmes (73 %) et les employés (74 %) restent majoritaires parmi les candidats à une certification ministérielle.
- Par ailleurs, le choix de la moitié des candidats se concentre sur seulement une dizaine de certifications, principalement dans le domaine de la santé, des affaires sociales et de l’éducation.
- 58 % des candidats visent un titre ou un diplôme de niveau baccalauréat ou CAP/BEP.
- La part des candidats visant un diplôme de niveau CAP/BEP a été bien moins élevée en 2015 (40 %) qu’en 2014 (52 %).
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