La direction de Steria négocie un accord de compétitivité pour économiser 20 millions d’euros d’économies structurelles par an, sur trois ans. L’accord sur le temps de travail est notamment dans le collimateur avec un forfait annuel qui passerait de 217 à 225 jours travaillés « sans compensation ». Un retour à la convention Syntec.
Alors que Steria négocie un accord de compétivité qui porte sur le temps de travail et les emplois, un accord sur le télétravail est proposé à la signature.
Ainsi, 10 des 14 CHSCT consultés ont rendu des avis favorables.
Le comité d’entreprise de Steria Iberica, S.A.U. rend publique son opposition à l’accord de vente d’actions passé entre le groupe Steria et le fonds d'investissement allemand Aurelius, comme cela a déjà été indiqué à plusieurs occasions à la direction du groupe.
Une première, la direction annonce officiellement lors de l’ouverture des NAO qu’elle prend l’engagement que les membres du comité de direction s’exempteront d’augmentation cette année.
La structure de la future base de données économiques et sociales, sur laquelle planchent les participants de la négociation sur la modernisation du dialogue social est en passe d’être finalisée. Ce serait la fin du bilan social, exercice annuel et fastidieux des directions. La volonté des partenaires sociaux est de faire de la future base un outil opérationnel.
En 2011, Steria a déménagé son siège d’Issy-les-Moulineaux à Velizy, dans un bâtiment à énergie positive dans lequel la direction a proposé que les ascenseurs ne servent qu’à partir du 2ème étage, sauf bien entendu pour les personnes à mobilité réduite.
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