Airbus India, c’est de l’ingénierie avec 250 ingénieurs, de l'assistance aux clients, des achats et bientôt un centre d'entretien pour un chiffre d’affaires de 250 millions d’euros en 2013.
En février dernier, la Société Générale organisait son premier voyage d’étude pour ses syndicats. Au programme : découverte express en deux jours de la filiale indienne implantée à Bangalore. Seule la CFDT a décliné l’invitation.
Les grandes entreprises françaises ont longtemps rechigné à faire visiter leurs centres de services ou usines à l'étranger pour ne pas rappeler aux organisations syndicales l'épineux dossier des transferts d'emploi. Aujourd'hui, la donne économique et les mentalités ont changé de part et d'autre. Quels sont les freins légitimes à ce type d'exercice et quels en sont les apports possibles pour les syndicats ? Debriefing de déplacements organisés par la Société Générale et Renault.
Le 17 septembre 2010, la Commission européenne a diffusé une communication attendue relative à « l'élaboration d'un espace ferroviaire unique européen ». La proposition de directive ainsi formulée par l’instance technocratique de l’Union européenne s’inscrit dans la suite des trois « paquets ferroviaires » européens. Pourquoi une nouvelle directive ?
Du 2 au 4 avril derniers, 250 personnes venant des quatre coins de France et du monde (Afrique du Sud, Argentine, Belgique, Espagne, Italie, Pays-Bas, Madagascar, Maroc, Tunisie) se sont réunis dans le cadre du premier colloque organisé par le réseau international des syndicats des centres d’appels, dont la CGT et SUD sont les représentants français.
Le secteur des centres d’appels est secoué par une recrudescence de mouvements sociaux tant en France (en juin et décembre 2011), qu’en Tunisie (avec la grève en février dernier chez Téléperformance) qu’au Maroc (avec la grève à Totalcall filiale de Free).
Du travail et des compétences au pays de Descartes et des 365 fromages
Un débat semble agiter depuis quelques semaines de nombreux médias (Le Monde notamment) : faut-il rompre avec le « culte de la performance » (ou la compétence) ?