Section CNT People and Baby : premières victoires syndicales
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Lors de la commission paritaire Locale (CPL) du 7 mars prochain, la CCIP présentera aux représentants du personnel ce qui s'annonce déjà comme un véritable plan social.
J'ai commencé lundi une grève de la faim et je rejoins donc Eric dans cette expression particulière de notre colère à tous.
Depuis mon licenciement par Generali, je n’ai pu que constater que l’État de droit est quotidiennement bafoué sans que quiconque ne s’en soucie :
Le 14 février, je publiais un article qui avait pour objectif de dénoncer les méthodes utilisées par le groupe Snef afin d'évincer le personnel revendicateur.
L’expression courante utilisée par un salarié dont l’employeur rompt le contrat de travail pour motif disciplinaire, c’est « être viré ». Pour tout le monde, être viré signifie en bon français : « être licencié ».
C'est en solidarité avec un collègue licencié pour faute simple, que le 7 février 2011, neuf d'entre nous avons refusé de prendre le travail.
Cet électricien est sanctionné pour avoir soi-disant mal répondu à son chef d'équipe, motif monté de toutes pièces pour masquer la véritable raison de son licenciement.
Il résulte des articles L. 1132-1 et suivants du Code du Travail que le salarié ne peut faire l’objet d’une mesure discriminatoire, fondée notamment sur son état de santé.
Pour autant, la jurisprudence admet depuis longtemps le licenciement du salarié malade, lorsque son absence prolongée ou ses absences répétées affectent la bonne marche de l'entreprise.
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