Face à l’épuisement professionnel (qualifié de « burn-out ») et ses maux (démotivation, dépression, violences physiques), il y a des coûts : pour les performances des entreprises, sur les contrats santé et risques lourds de ces mêmes entreprises pour la Sécurité sociale, sans parler des situations professionnelles et personnelles des gens touchés.
Portée par Patricia Bordas, le groupe socialiste au Sénat a adopté le 23 juillet une proposition de résolution visant à mieux protéger la santé des travailleurs et à lutter contre les risques psychosociaux d'origine professionnelle.
Tel était le thême d'un petit déjeuner débat organisée par notre think-tank Galilee.sp, animé par Jean-Claude Delgenes, directeur général du cabinet Technologia (*) et qui a connu un certain succès au regard de l'intérêt porté par les participants d'horizons divers à ce sujet éminemment sensible et d'actualité.
Dans une sombre affaire d'excréments de chauves-souris, le Conseil d'État est formel : c'est aux agents qu'il appartenait de saisir le CHSCT.
La qualité de vie au travail a pour objectif de concilier les modalités de l’amélioration des conditions de travail et de vie pour les salariés et les performances collectives de l’entreprise.
Leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci détermine la perception de la qualité de vie au travail qui en résulte. D'où l'intérêt de l'étude de l'HAS et de l'ANACT.
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