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    03 / 09 / 2014

    Des statistiques sur le stress à prendre avec des pincettes

    L’observatoire médical du stress de l'IFAS mis en place par AXA IM, l’activité gestion d’actifs qui emploie environ 1 300 salariés en France, révèle que la proportion de salariés en sur-stress est passée de 21,7 % en 2013 à 41,8 % en 2014. Mention particulière pour la part des femmes sur-stressées, qui passe de 27,5 % à 47,8 %, soit une progression de plus de 20 % sur un an.

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    02 / 09 / 2014

    AXA IM : le pourcentage de salariés en sur-stress passe de 27,5 % à 47,8 %, comment analyser une telle « explosion » ?

    Depuis 2009, les salariés de l’activité gestion d’actifs d’Axa sont invités à remplir anonymement un questionnaire informatisé pour évaluer leur niveau de stress. Les derniers résultats révèlent une explosion du sur-stress mais doivent être pondérés par un taux de participation inférieur à 20 %. Décryptage d’un résultat certes significatif mais qui pose la question de sa représentativité. À la longue, les salariés ne seraient-ils pas lassés de répondre à des questionnaires sur le stress ?
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    30 / 06 / 2014 | 4 vues

    Vers des expertises judiciaires sur l’organisation du travail

    En recourant à des experts judiciaires afin d’éclairer techniquement leurs décisions sur l’incidence de l’organisation du travail sur les conditions de travail, les juges prendraient du recul vis-à-vis des rapports d’expertise CHSCT et des « contre-rapports » des directions qui pèsent dans les conclusions des parties. Encore faut-il que ces experts indépendants existent et qu’ils soient en mesure d’objectiver les charges de travail et autres dysfonctionnements organisationnels...
  • Conditions de travail : deux rapports valent mieux qu’un face à un juge Rodolphe Helderlé ven 13/06/2014 - 01:46
    La direction de la RATP a mis les moyens pour contrer le rapport d’expertise sur lequel s’appuyait le CHSCT Bus pour demander au TGI de Paris l’annulation du plan de centralisation de la régulation des bus. Deux rapports, dont l’un porté par un cabinet d’expertise, ont été commandités par la régie pour plaider avec succès la cause de son projet. Découvrez les contours de trois rapports, aux approches très différentes, qui auront coûté au total plus de 400 000 euros à la RATP…
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    20 / 05 / 2014

    Quand la justice devient le terrain d'affrontement d'expertises : retour sur l'arrêt FNAC

    Huit CHSCT et trois syndicats (CGT, CGC et SUD) de l'enseigne culturelle avaient lancé une procédure en référé fin 2012 pour faire annuler un projet de PSE insuffisamment diagnostiqué en matière de risques psycho-sociaux. Après suspension du projet par la justice, les deux parties avaient mis chacune en avant des résultats d'expertises devant les juges d'Appel. Avec plus de réussite pour la direction de la FNAC.
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    22 / 03 / 2011 | 20 vues

    Pourquoi Technologia a adhéré à la FIRP ?

    Le 10 décembre 2010, Stimulus, Ifas, Artélie, Psya, Capital santé et Iapr, les six cabinets créateurs quelques semaines auparavant de la Fédération des intervenants en risques psychosociaux (FIRP), présentaient les objectifs de leur fédération au cours d’une réunion organisée par la direction générale du Travail avec tous les experts en RPS.

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    20 / 05 / 2010

    Prévention secondaire des risques psychosociaux, un marché en effervescence

    Apprendre à diagnostiquer et gérer son stress par le net est possible, affirment plusieurs nouveaux acteurs de la prévention secondaire. L’occasion de ratisser plus large que les formations classiques traditionnelles. Voilà un marché en pleine effervescence, qui voit même arriver des acteurs historiques de la prévention primaire, celle qui s’attache à corriger l’organisation du travail... Petit tour d’horizon de ces nouvelles pratiques qui débroussaillent.
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    01 / 02 / 2010

    « Stress » : cet irrésistible besoin de se comparer en toute liberté

    Des cabinets comme Stimulus et Ifas proposent déjà des panels à leurs clients afin qu’ils puissent se comparer à la moyenne de leur secteur d’activité par exemple. D’autres sont en réflexion sur ce terrain tandis que certains se refusent à l’exercice pour le motif que ces comparaisons évitent aux entreprises de se concentrer sur leurs problématiques et que leurs fondements scientifiques posent questions.