Affaire Renault : la CFE-CGC approuve le principe d’une réintégration des cadres injustement accusés
L’affaire d’espionnage change de cap et M. Pélata admet une autre hypothèse, celle d’une manipulation contre l’entreprise.
L’affaire n’est pas encore terminée et l’enquête continue, mais tout semble se dégonfler. La CFE-CGC, qui a en son temps assisté deux des trois cadres lors de leurs entretiens préalables, approuve fortement leur possible réintégration.