Plastalliance accepte de laisser la liberté aux entreprises et aux IRP locales de choisir leur avenir économique et social. En effet, suite à l’échec des négociations pour un accord salaires dans la plasturgie pour l’année 2019, les entreprises de la branche ont un instant cru pouvoir éviter de se faire imposer une année de plus des augmentations de salaires décidées par des organisations natio
Les OPCO (qui remplacent les OPCA) ont un rôle auprès des TPE-PME avec pour notamment pour mission :
Le 18 juin 2019, le gouvernement a publié « les 12 mesures pour aider chacun à retrouver un emploi stable ». Parmi ces mesures figure une disposition qui, selon le gouvernement, ferait que « les entreprises seront financièrement incitées à proposer davantage de CDI et à rallonger la durée des CDD ».
Les deux organisations patronales de la plasturgie sont censées toucher 900 000 euros au titre de la gestion du paritarisme financée par une contribution de 0,05 % de la masse salariale de toutes les entreprises de la branche. Une contribution négociée en 2012 en plus des 0,016 % du fonds de gestion du paritarisme national.
Pour les OSS, 2019 est une année blanche pour les salaires. Pour les entreprises, c'est carte blanche pour pouvoir décider elles-mêmes de leur politique salariale.
Avec un niveau d’adhésion quasiment trois fois inférieurs à celui de la Fédération de la plasturgie qui lui contestait sa représentativité, Plastalliance a démontré la réalité de ses services.
Par requête en date du 19 février 2018, la fédération de la plasturgie et des composites avait saisi la Cour d’Appel Administrative de Paris pour demander l’annulation de l’arrêté du 29 novembre 2017 qui avait notamment acté la reconnaissance de la représentativité de Plastalliance dans la branche de la plasturgie.
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