Organisations
Suicide d'un surveillant de prison : échos opposés du parquet et de la CGT
Dans la nuit du 1er janvier 2011 un surveillant de la maison d'arrêt de Seysses (Haute-Garonne) s'est suicidé. Le parquet a précisé que ce décès s'était produit « en-dehors du cadre professionnel », rapporte Le Nouvel Observateur. La CGT affirme avoir la certitude que le surveillant avait « souffert de ses conditions de travail (…) qu’il avait dénoncées publiquement ».
Pour la CGT, « notre travail, les conditions dans lesquelles nous l’exerçons, l’enfermement ont un effet considérable sur notre santé. L’administration ne mesure toujours pas cela ! C’est dramatique en soi ! ».
- Le taux de suicide du personnel pénitentiaire serait de 31 % supérieur à celui de la population générale (statistiques 2005-2009).
Pour la CGT, « notre travail, les conditions dans lesquelles nous l’exerçons, l’enfermement ont un effet considérable sur notre santé. L’administration ne mesure toujours pas cela ! C’est dramatique en soi ! ».
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