Organisations
Quelles réactions syndicales à la création de la FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux) ?
Quelques extraits des réactions syndicales à propos de la balbutiante FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux).
« La création de cette fédération participe au repositionnement de certains cabinets sur des approches collectives, axées sur le travail réel. Et nous n’allons pas nous en plaindre. Il n’est pas question d’être dans une attitude de rejet a priori, même si nous sommes sans concession sur les excès des approches individuelles dans les entreprises et médicalisées. » > Jean-François Naton (CGT)
« Nous allons suivre de près les évolutions de cette fédération, son référentiel, son degré de transparence et l’équilibre entre ses différentes parties prenantes. » > Henri Forest (CFDT)
« C’est une bonne initiative qui correspond à un besoin mais ce n’est qu’un brouillon dans lequel règne un désordre créateur entre les interventions des uns et des autres. » > Bernard Salengro (CFE-CGC)
« Cet embryon de fédération nous semble constituer un danger pour l’agrément d’expert CHSCT. Nous voyons cela comme une campagne de lobbying anti-agrément. » > Eric Beynel (Solidaires)
« Nous percevons la création de cette fédération comme une volonté des tenants historiques des approches individuelles et psychologiques d’imposer leur cadre au profit d’un intérêt financier. » > Frédérique Paquier (Unsa)
« Cela nous pose un problème de fond et de forme. En dehors du cadre des expertises CHSCT, nous conseillons à nos délégués de faire appel à l’ANACT et à son réseau ou encore aux services de santé au travail, qui intègrent désormais des psycho-sociologues. » > Pierre Yves Montéléon (CFTC)
Retrouvez les réponses complètes à cette question sur la FIRPS et les rebonds sur les deux questions suivantes :
« La création de cette fédération participe au repositionnement de certains cabinets sur des approches collectives, axées sur le travail réel. Et nous n’allons pas nous en plaindre. Il n’est pas question d’être dans une attitude de rejet a priori, même si nous sommes sans concession sur les excès des approches individuelles dans les entreprises et médicalisées. » > Jean-François Naton (CGT)
« Nous allons suivre de près les évolutions de cette fédération, son référentiel, son degré de transparence et l’équilibre entre ses différentes parties prenantes. » > Henri Forest (CFDT)
« C’est une bonne initiative qui correspond à un besoin mais ce n’est qu’un brouillon dans lequel règne un désordre créateur entre les interventions des uns et des autres. » > Bernard Salengro (CFE-CGC)
« Cet embryon de fédération nous semble constituer un danger pour l’agrément d’expert CHSCT. Nous voyons cela comme une campagne de lobbying anti-agrément. » > Eric Beynel (Solidaires)
« Nous percevons la création de cette fédération comme une volonté des tenants historiques des approches individuelles et psychologiques d’imposer leur cadre au profit d’un intérêt financier. » > Frédérique Paquier (Unsa)
« Cela nous pose un problème de fond et de forme. En dehors du cadre des expertises CHSCT, nous conseillons à nos délégués de faire appel à l’ANACT et à son réseau ou encore aux services de santé au travail, qui intègrent désormais des psycho-sociologues. » > Pierre Yves Montéléon (CFTC)
Retrouvez les réponses complètes à cette question sur la FIRPS et les rebonds sur les deux questions suivantes :
- Sur le terrain, quelles modalités du recours à l'assistance externe eu égard au niveau d'appropriation de vos délégués ?
- Quel doit être le rôle des institutions de prévoyance en matière de prévention des risques psychosociaux ?
- Santé au travail parrainé par Groupe Technologia
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