Organisations
La Poste et ses files d’attente : le graal des 7 minutes
7 minutes d’attente maximum . C’était l’objectif annoncé dès 2004 par la direction du service postal Suisse. Le seuil des 7 minutes semble être manifestement le graal de tous les services postaux puisque Jean-Paul Bailly a annoncé un nouveau plan pour atteindre ce « standard international » d’ici fin 2010 avec une étape intermédiaire à 8 minutes d’ici fin 2008. Un nième plan pour réduire les files d’attente après celui baptisé « Contre toute attente ».
De récents comptages montrent qu’il y a sur une année 18 semaines avec un fort flux de clientèle, 17 avec un flux moyen et 17 avec une faible affluence. Du fait des « énormes disparités », l’idée est de lisser les effectifs sur un mois ou même sur l’année. Un projet qui entend donc jouer sur une remise à plat de l’organisation du temps de travail avec une plus flexibilité individuelle dans le cadre de la modulation des horaires.
Pour SUD, « ce type d’organisation ne peut s’inscrire que dans un cadre légal strict que La Poste voudrait à tout prix contourner. Pour l’instant, elle n’est pas rentrée dans les détails de cette nouvelle organisation mais pour elle il ne serait pas question d’une organisation type. Elle définirait un cadre adaptable aux “réalités locales”. Il y a fort à craindre que ces réalités locales prendraient le pas sur le cadre général. ».
De récents comptages montrent qu’il y a sur une année 18 semaines avec un fort flux de clientèle, 17 avec un flux moyen et 17 avec une faible affluence. Du fait des « énormes disparités », l’idée est de lisser les effectifs sur un mois ou même sur l’année. Un projet qui entend donc jouer sur une remise à plat de l’organisation du temps de travail avec une plus flexibilité individuelle dans le cadre de la modulation des horaires.
Pour SUD, « ce type d’organisation ne peut s’inscrire que dans un cadre légal strict que La Poste voudrait à tout prix contourner. Pour l’instant, elle n’est pas rentrée dans les détails de cette nouvelle organisation mais pour elle il ne serait pas question d’une organisation type. Elle définirait un cadre adaptable aux “réalités locales”. Il y a fort à craindre que ces réalités locales prendraient le pas sur le cadre général. ».
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