Le scénario prévisionnel d’évolution des réserves, établi en 2010, prévoyait que la Caisse de retraite du personnel navigant (CRPN) aurait épuisé ses réserves en 2040. En 2013, un nouveau scénario table sur un horizon en 2030.

Depuis quelques années, les scandales sociaux relatifs à la compagnie irlandaise Ryanair éclatent un peu partout en Europe. Norvège, Allemagne, France et maintenant Angleterre. Jusqu’à présent, la « low-cost » avait réussi à éviter que l’étincelle ne dégénère en feu de forêt. Deux événements risquent néanmoins de changer radicalement la donne.

D’un côté, Ryanair qui, depuis la sortie d'un documentaire où ses pilotes mettaient en cause la sûreté de ses vols, tient ces derniers d’une main de fer. De l’autre, le Ryanair Pilot Group (RPG), le groupe représentant des pilotes anonymes de la compagnie, qui essaye de faire valoir les droits de ceux qu'il représente. Entre les deux, le torchon brûle.

Le philosophe François Athané ne voit pas de paradoxe entre la hausse simultanée de l’attachement à son employeur et de la souffrance mentale.

Deux anciennes hôtesses de l’air habitant la Norvège ont porté plainte, avec le soutien des syndicats, contre Ryanair. Elles ont assigné la compagnie en justice pour licenciement injuste et violation du droit du travail. L’emballement politico-médiatique qui en a suivi a forcé M.

Récemment, la compagnie irlandaise Ryanair a fait savoir qu'elle augmenterait de 10 % les revenus de son personnel naviguant et de certains de ses pilotes. Refusant toujours le dialogue et la syndicalisation, la « low-cost » a néanmoins pris conscience que sans un mouvement de sa part, la gronde sociale risquait d'exploser.

L'étude sur « l'accueil des adultes handicapés dans les établissements et services médico-sociaux » que vient de publier la DREES (Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques) et dont la teneur est disponible sur le site www.drees.sante.gouv.fr, permet d'avoir une vision des évolutions sur les cinq dernières années.

Ryanair fait de la résistance. À peine deux mois après avoir été épinglée par la Cour européenne de justice pour l'absence de prise en charge d'une passagère en 2010, la compagnie a récidivé lundi 12 mars en laissant sur le carreau (et c'est le cas de le dire) 500 nouvelles personnes.

Au début du mois, Ryanair a annoncé avec fracas son intention de diminuer le nombre de vols vers l’aéroport londonien de Stansted.

En dépit de résultats solides, l’actualité n’est pas toute rose pour la compagnie low-cost irlandaise Ryanair. Tout d’abord, en dépit des mois écoulés, de ses véhémentes protestations, d’une conférence de presse en urgence et d’un semblant de rapport officiel, Ryanair n’arrive pas à se détacher du triple atterrissage d’urgence à Valence de juillet 2012.