Nous avons souvent entendu l'adage « faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais ». C’est ainsi, peut-être, qu’il faut observer la situation au Centre Hospitalier de Mâcon.
Le projet 2012 du Parti socialiste publié le 5 avril constituera la future boîte à outils du candidat désigné lors des primaires de septembre. La proposition n° 1 du chapitre « Emploi, compétitivité » : « nous créerons une banque publique d’investissement qui investira dans la recherche et l’innovation… » est d'inspiration syndicale.
Nous nous sommes fixé pour objectif de réunir les intervenants professionnels spécialistes de la prévention des risques psychosociaux (RPS) autour de convictions fortes.
La concurrence est rude sur le terrain de l’assistance psychologique aux salariés. Les nouveaux entrants se multiplient. Certains pèsent lourd, à l’image de Wengo, dont la plateforme permet à quelques 1 500 conseillers indépendants de monétiser leurs prestations téléphoniques sur tous les sujets : astrologie, soutien scolaire, nutrition, psychologie, juridique...
En octobre 2010, la cellule « RPS » de la Direction Générale du Travail (DGT) a réuni une quarantaine de cabinets de conseil intervenant sur les risques psychosociaux.
Jusqu’à une époque récente, les employés étaient, pour la plupart, rémunérés par un salaire fixe et l'amélioration des résultats pouvait être récompensée par une promotion ou la révision du salaire. Souvent, s’ajoutaient aussi une ou plusieurs primes annuelles alors que les commissions et autres bonus étaient la carotte faisant avancer les commerciaux.
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