Un mouvement de grève a été lancé le 23 septembre sur le site de Sandouville de Renault pour refuser le « chantage » d’une direction qui « organise des jours de chômage partiel » tant que 1000 volontaires ne seront pas partis. 15 jours de chômage sont au programme d’octobre. Idem pour novembre. Selon la CGT, la perte financière est d’au moins 350 € par mois.