Esprit Charlie ou pas, le dialogue social reste toujours autant conflictuel à la Ville de Paris. Dernier épisode en date : la passe d’armes qui a opposé les syndicats à Pauline Veron, élue en charge de la démocratie locale et la participation citoyenne.
Mardi 29 septembre 2015, la société STMicroelectronics (11 000 salariés en France) a réussi à faire signer « à la double majorité » (c’est-à-dire la CFE-CGC, l’UNSA et FO) un accord supprimant aux organisations syndicales un droit fondamental inscrit dans le Code du travail et qui est de « droit public ».
À la suite de notre actualité d'hier [ndr : 17/09], le groupe Atos conteste notre présentation des faits : « Il ne s’agit pas de censure mais de respect des obligations de confidentialité attaché au mandat de représentant du personnel. En aucun cas Atos n’a censuré un tract syndical.
© 2019 Miroir Social - Réalisé par Cafffeine