Organisations
Non à l'accord sur le temps de travail de l'UES Experis It en recul par rapport à la convention collective
La CFDT de l'UES Experis It (filiale à 100 % de Manpower) rejette la proposition d’accord sur le temps de travail car pour une avancée sur le nombre de jours de RTT (12 jours pour tous les salariés) la direction a voulu faire disparaître la modalité 2 « réalisation de mission » en refusant de nous fournir le nombre de salariés concernés par les différentes modalités.
Des régressions sociales ont été ajoutées en ne laissant pas le choix au salarié entre le repos compensateur ou le paiement de ses heures supplémentaires. Le tout en ne bénéficiant pas de repos compensateur quand le nombre d’heures supplémentaires n’a pas atteint 7 heures (ces heures n’étant payées qu’en quittant l’entreprise).
La direction n'a pas voulu préciser quelles sont les absences qui ne donnent pas de jours de RTT, ni enlever le fait de faire travailler un salarié en dessous de sa qualification quand celui-ci est entre deux missions. La direction a voulu payer les dimanches 50 % de plus qu’un jour ouvré alors que la convention collective est de 100 % et payer les samedis 25 % de plus qu’un jour ouvré alors que la loi précise que les 4 premières heures sont payées à 25 % et ensuite 50%.
N'est précisé le contrôle des modalités 3 « forfait jour » que pour les salariés du staff et pas les salariés en mission ce qui est discriminant.
La CFDT se tient cependant à disposition pour proposer un texte plus en adéquation avec ce que vivent les salariés et surtout en recul par rapport à la loi et/ou à la convention collective de la branche du numérique et du conseil.
Pour information, l'accord a aussi été refusé par l'UNSA et la CGT. Seule la CFTC a accepté de le signer. L'accord ne s'applique pas car les 3 organisation syndicale représentent plus de 65 % de la représentation syndicale et que la CFTC ne pèse que 19 %.
Des régressions sociales ont été ajoutées en ne laissant pas le choix au salarié entre le repos compensateur ou le paiement de ses heures supplémentaires. Le tout en ne bénéficiant pas de repos compensateur quand le nombre d’heures supplémentaires n’a pas atteint 7 heures (ces heures n’étant payées qu’en quittant l’entreprise).
La direction n'a pas voulu préciser quelles sont les absences qui ne donnent pas de jours de RTT, ni enlever le fait de faire travailler un salarié en dessous de sa qualification quand celui-ci est entre deux missions. La direction a voulu payer les dimanches 50 % de plus qu’un jour ouvré alors que la convention collective est de 100 % et payer les samedis 25 % de plus qu’un jour ouvré alors que la loi précise que les 4 premières heures sont payées à 25 % et ensuite 50%.
N'est précisé le contrôle des modalités 3 « forfait jour » que pour les salariés du staff et pas les salariés en mission ce qui est discriminant.
La CFDT se tient cependant à disposition pour proposer un texte plus en adéquation avec ce que vivent les salariés et surtout en recul par rapport à la loi et/ou à la convention collective de la branche du numérique et du conseil.
Pour information, l'accord a aussi été refusé par l'UNSA et la CGT. Seule la CFTC a accepté de le signer. L'accord ne s'applique pas car les 3 organisation syndicale représentent plus de 65 % de la représentation syndicale et que la CFTC ne pèse que 19 %.
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