Organisations
« Le recrutement extravagant » du DRH de l’École de Physique et de Chimie de la Ville de Paris
« Un recrutement dans l’extravagance ». C’est ainsi que le syndicat UCP (Union des Cadres Parisiens) dénonce la manière dont a été recruté le DRH de l’École de Physique et de Chimie de la Ville de Paris (ESPCI).
Cet établissement qui dépend directement de la mairie de Paris a, il est vrai, des pratiques assez inédites dans l’art de faire passer un entretien d’embauche. Pour le syndicat des cadres, ce recrutement est même placé « sous le signe de la déraison et de la bizarrerie » (lire ici). Un langage auquel le syndicat n’est pourtant guère coutumier.
Il faut dire que pour recruter son nouveau directeur des ressources humaines, l’école s’est d’abord affranchie de la « loi Toubon », le ministre était pourtant un ancien élu de la capitale. En effet, si l’on en croit l’UCP « certains candidats on eu des entretiens en anglais, alors que l’usage de la langue française est une obligation pour tout fonctionnaire ». Surtout pour un DRH, indeed !
Mais là où le syndicat manque de s’étrangler, c’est que certains candidats à ce poste de direction « auraient eu un entretien avec un plombier ». Après tout, pourquoi pas ? Les questions statutaires à la Ville de Paris ne sont pas très éloignées des problèmes de tuyauteries.
Mais surprise dans la clef de douze, le plombier en question ne serait pas que plombier, il serait aussi « qui plus est syndicaliste », selon l’UCP qui en perd son latin. En tout cas, c’est un bel exemple de co-gestion municipale, bien que l’on ignore l’organisation à laquelle appartient notre plombier-recruteur.
Le syndicat UCP qui « condamne ces méthodes insensées » souhaite néanmoins dans un esprit des plus « fluctuat », bon courage au futur DRH « qui n’y est pour rien et qui va devoir appliquer la réglementation en matière de ressources humaines dans un tel environnement ». Toutefois, même dans un tel environnement, il devrait savoir quoi faire en cas de fuite d’eau et ça, c’est on ne peut plus « mergitur ».
Cet établissement qui dépend directement de la mairie de Paris a, il est vrai, des pratiques assez inédites dans l’art de faire passer un entretien d’embauche. Pour le syndicat des cadres, ce recrutement est même placé « sous le signe de la déraison et de la bizarrerie » (lire ici). Un langage auquel le syndicat n’est pourtant guère coutumier.
Il faut dire que pour recruter son nouveau directeur des ressources humaines, l’école s’est d’abord affranchie de la « loi Toubon », le ministre était pourtant un ancien élu de la capitale. En effet, si l’on en croit l’UCP « certains candidats on eu des entretiens en anglais, alors que l’usage de la langue française est une obligation pour tout fonctionnaire ». Surtout pour un DRH, indeed !
Mais là où le syndicat manque de s’étrangler, c’est que certains candidats à ce poste de direction « auraient eu un entretien avec un plombier ». Après tout, pourquoi pas ? Les questions statutaires à la Ville de Paris ne sont pas très éloignées des problèmes de tuyauteries.
Mais surprise dans la clef de douze, le plombier en question ne serait pas que plombier, il serait aussi « qui plus est syndicaliste », selon l’UCP qui en perd son latin. En tout cas, c’est un bel exemple de co-gestion municipale, bien que l’on ignore l’organisation à laquelle appartient notre plombier-recruteur.
Le syndicat UCP qui « condamne ces méthodes insensées » souhaite néanmoins dans un esprit des plus « fluctuat », bon courage au futur DRH « qui n’y est pour rien et qui va devoir appliquer la réglementation en matière de ressources humaines dans un tel environnement ». Toutefois, même dans un tel environnement, il devrait savoir quoi faire en cas de fuite d’eau et ça, c’est on ne peut plus « mergitur ».
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