Organisations
Les priorités du label responsabilité sociale des centres d'appels
Vous pouvez chercher, vous ne trouverez pas sur le site de l’ALRS (Association pour la promotion et le développement du Label Responsabilité Sociale) la grille des 149 questions auxquelles les prestataires de centres d’appels doivent répondre pour être éligibles au label responsabilité sociale. Dommage que l’association ne la mette pas en ligne. Cela n’a rien de confidentiel et c’est instructif.
- C'est sur la base des réponses à ces 149 questions que le cabinet Ernst & Young conduit un audit in situ d'une journée sur un site.
La capacité des centres à retenir le personnel apparait comme un critère clé au regard du nombre des questions qui portent sur le sujet. On y différencie le taux d’absentéisme justifié du taux d’absentéisme injustifié. On y invite à renseigner un "ratio de stabilité" correspondant au rapport entre l'effectif mensuel moyen annuel de la dernière année civile et l'effectif inscrit au 31/12 de la dernière année civile. Le taux de présence à 24 mois d’un nouvel embauché en CDI est aussi demandé. De même que le taux de turn-over (nombre de salariés sortis de l’entreprise entre le 1er janvier et le 31 décembre de la dernière année civile / nombre de salariés présents au 1er janvier de la dernière année civile)...
Deux thèmes brillent par leur absence dans cette grille : l'égalité professionnelle hommes-femmes et les seniors.
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Un posture...
Le label de responsabilité sociale est une posture, et n'engage que ceux qui y croient, à croire plusieurs spécialistes du secteur, notamment l'ex-conseiller de borloo sur le sujet
http://www.en-contact.com/httpdocs/%C2%ABla-charte-de-bonnes-pratiques-une-posture%C2%BB.html