12 millions d’euros, c’est à la fois beaucoup et peu rapporté aux 400 000 bénéficiaires potentiels. C'est le budget ASC de l’Apasca, le CE de la branche des services de l’automobile (garage, contrôle technique…), adossé à IRP-Auto, le groupe paritaire de protection sociale qui se rapproche du groupe Klésia.
Quel avenir pour les CE de branches ?Rodolphe Helderlémar 31/01/2017 - 18:25
En théorie, le CE de branche est la solution pour que les salariés des TPE et des PME puissent prétendre bénéficier d’activités sociales et culturelles grâce à une contribution patronale. Dans les faits, l’équilibre financier de ces « super CE » plus ou moins étroitement associés à des régimes de protection sociale se révèle très instable. Illustration dans les branches de l’énergie, de la réparation automobile, des architectes ou encore du spectacle.