La direction d'Altran considère qu'il ne lui appartient pas de vérifier les passes sanitaires des quelques consultants qui interviennent en milieu hospitalier (...)
À l’ordre du jour de l’information-consultation du CCSE du 15 septembre chez Capgemini figurait notamment un point sur l’éthique du groupe, bientôt applicable aux salariés d’Altran ayant rejoint la « global business line » ER&D. Quand la charte éthique veut prôner l’audace, le plaisir ou la simplicité (...)
Quatre critères ont été établis pour caractériser les unités de travail qui se verront appliquer le même taux de réduction de leur durée du travail (...)
D'un côté, Altran bénéficie encore du régime de chômage partiel pour environ 1.000 salariés tout en encaissant, via son entité de formation, le module de cinq jours remboursé 1.500 euros par l'État via le FNE (...)
Altran licencie un représentant belge du comité européen
Les représentants du comité d'entreprise européen d'Altran viennent d'envoyer une lettre ouverte au PDG du groupe, Dominique Cerruti. Celle-ci dénonce le licenciement du secrétaire adjoint de l'instance, sans motif légal, selon les auteurs.
Dépôt massif de dossiers prud’homaux à Toulouse, ça avance. La CGT Altran explique que 300 assignations pour des heures supplémentaires non payées sont passées en audience groupée au bureau de conciliation mardi 9 Juin au conseil de Prud’hommes de la ville rose. Le bureau de jugement est annoncé pour février 2016.
Les modalités de désignation du représentant syndical au CE sont « gravées dans le marbre » au moment de l’élection
Les modalités de désignation du représentant syndical au CE varient selon que l’entreprise a plus ou moins de 300 salariés.
Dans les entreprises de moins de 300 salariés, « le délégué syndical est, de droit, représentant syndical au comité d’entreprise » (art. L 2143-22 du code du travail).
Pas d'atteinte à « la vie privée » d'Altran Technologies
Assignés en référé par Altran Technologies pour « atteinte à la vie privée d'une personne morale », trois délégués du personnel (un FO et deux CGT) ont été relaxés le 30 avril (voir notre article du 28 avril). L'entreprise devra leur verser 1 000 euros à chacun.