Les retraités du secteur privé et de la fonction publique ont vu leurs pensions de retraite revalorisées de 1 % le 1er avril 2009, après un simulacre de rattrapage de 0,80 % au 1er septembre 2008, cette revalorisation de 1 % intègrerait 0,60 % au titre de 2008 et l’évolution de l’indice des prix à la consommation pour 2009, soit 0,40 %.
Lors d'une récente réunion avec les fédérations syndicales le projet de création d'un service à compétence nationale (SCN) a été annoncé. A cette occasion a été présenté le service dénommé désormais "Service des retraites de l'Etat"...se substituant au Service des pensions.
Le 13 janvier, la CFE-CGC, la CFTC et FO ont signé l'accord sur les mesures inciatives de départs volontaires qui s'inscrivent dans un plan qui prévoit la supression de 1400 emplois en 2009 en France (9000 dans le monde).
Non. Un employeur ne peut mettre un salarié d'office à la retraite sans s'assurer que l'intéressé bénéficie d'une retraite à taux plein.
Il appartient à l’employeur de s'assurer de cette situation au besoin en mettant préalablement le salarié en demeure de lui fournir les renseignements nécessaires.
Le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2009 a été assez sévèrement censuré par les "sages" du Conseil Constitionnel.
Le gouvernement devra donc revoir sa copie sur une vingatine d'articles.
Va t-on vers une remise en cause profonde de notre système de retraite ? La question est désormais clairement posée, dans la mesure où à l'occasion de l'examen du budget 2009 de la Sécurité Sociale (PLFSS) 2009 les députés de la majorité ont décidé d'engager le processus de réforme du système de retraite.
C'est une très ancienne revendication du syndicat FO des retraités de l'ex Seita (Société des tabacs et allumettes) qui se trouve enfin prise en considération au travers du décret signé le 25 novembre et publié au Journal officiel.
Les députés viennent de terminer l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité Sociale qui comporte certaines dispositions relatives à la retraite. Les débats parlementaires ont donné lieu, dans la nuit du 31 octobre, à une animation dont nous sommes désormais coutumiers.