C’est encore souvent à l’occasion d’une réorganisation (déménagement, PSE…) que le sujet de la mobilité domicile-travail se transforme en un objet collectif de dialogue social. En dehors de ces événements de moins en moins exceptionnels, les employeurs mais également les représentants du personnel ont pendant longtemps considéré que le sujet relevait d’abord de la vie privée.
Le syndicalisme, c’est de l’engagement mais aussi des compétences et de l’expérience que les DRH et les syndicats eux-mêmes peinent à reconnaître et à valoriser. C’est donc souvent dans une logique de parcours individuels que les délégués syndicaux prennent leurs responsabilités et se forment dans les cycles universitaires de formation continue.
Déménager pour garder son travail, en voilà un pas difficile à franchir ! C’est d’ailleurs souvent par un licenciement que cela se termine pour des salariés qui préfèrent encore sortir du jeu plutôt que de suivre le mouvement d’une entreprise qui restructure ses implantations. Les directions font-elles tout ce qu’il faut pour conserver les effectifs lors d’un déménagement ?
Les résultats d’une enquête inédite sur l’employabilité syndicale (quelle vie après l'engagement syndical ?) ont été présenté le 1er avril aux 200 participants du colloque organisé par Miroir Social sur les parcours syndicaux en partenariat avec Secafi, Opcalia, Harmonie Mutuelle et OasYs Consultants.
« Nous ne tolérerons pas qu’une minorité puisse venir nuire à une large majorité », assure la CGT de Goodyear qui annonce « la mise en place d’un service de sécurité par équipe pour veiller à ce que personne ne puisse porter atteinte à l’intégrité physique de qui que ce soit et de garantir le maintien en l’état de l’ensemble des équipements de tr
L’accord national interprofessionnel du 11 janvier, désormais transposé législativement, pose les bases d’une sécurisation de l’emploi qui deviendrait un enjeu partagé.
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