Le 15 juillet 2009, le vapocraqueur de Total Petrochemicals à Carling (Moselle) explosait en tuant les deux personnes qui tentait de le redémarrer. Il s'agissait d'un jeune en contrat d'alternance de 21 ans et d'un salarié de 29 ans.

L'accord d'égalité professionnelle entre hommes et femmes, signé le 4 mai sur le périmètre pétrole France, s'engageait à redresser les différences de salaire injustifiées et devrait être réalisé « si possible » dès la paie du mois d'octobre 2010. C'est chose faite. La rémunération de 2 300 collaboratrices a été majorée en moyenne de + 3,7 %.

Afin de couper court aux rumeurs qui commençaient à circuler, la direction de Total a partagé ses réflexions sur une réorganisation de la direction générale de l'exploration et de la production (DGEP), qui pourrait évoluer vers une organisation en quatre directions : exploration, développement, techniques d’opérations et stratégie croissance recherche.

L'Unsa Total propose à la direction de verser une prime exceptionnelle d'au moins 220 euros aux 12 649 salariés ayant reçu plus d'intéressement que prévu, suite à une erreur de calcul de la direction. « Pour éviter que cette prime soit soumise à fiscalisation et cotisation, une autre solution pourrait consister à verser un supplément de participation ou d’intéressement au titre de l’année 2009, ce

« Plusieurs candidats nous ont signalé que des organismes de recrutement les avaient contactés pour prétendument gérer leur candidature pour un emploi dans le groupe Total, en échange d’une contribution financière », peut-on lire sur le site de recrutement de Total qui précise que « les cabinets de recrutement mandatés par le groupe ne demandent et ne demanderont jamais de contribution financière

La Cour d'Appel de Douai ordonne à Total de reprendre ses activités de raffinage sur le site de Dunkerque. Une décision en date du 30 juin, justifiée par un défaut de consultation du comité d'entreprise sur le projet de réindustrialisation du site. Total a quinze jours pour redémarrer sa raffinerie, avec la menace d'une astreinte de 100 000 euros par jour d'infraction.

La raffinerie des Flandres de Total, qui emploie 370 salariés en direct, a fermé. Le projet de centre d'assistance technique aux opérations de raffinage pourrait employer 180 salariés, la future école de formation permettrait de créer 25 postes, tandis que 20 seraient affectés à une direction administrative.