Depuis trente ans, rien n'a bougé ou presque du coté de la représentativité patronale. Le CERF (créateurs d’emplois et de richesse de France), 3 000 adhérents au total, a envoyé quelques représentants silloner les couloirs du campus de Jouy-en-Josas où se tient l'université du Medef jusqu'au 2 septembre. Pour recruter sans doute ? Pas en priorité.
« Réforme de la médecine du travail : nous avons gagné », clament-ils. Ce n’est pas le titre d’une tribune de FO, mais celui d’un article du MEDEF des Bouches-du-Rhône (1).
C’est avec le soutien très actif du cabinet Barthélémy Avocats que le Cercle de la Prospective Sociale lance une campagne de lobbying pour une réforme de l’inaptitude médicale. Au regard des textes réglementaires et législatifs actuels sur le sujet, le Cercle propose d’en modifier certains et d’en créer de nouveaux.
À l’occasion de la conférence organisée avec le MEDEF sur « l’implication des hommes dans les politiques d’égalité professionnelle», l’ORSE publie une étude, qui à partir d’un état des lieux des accords d’entreprise, fait le point sur la place des hommes dans les dispositifs d’articulation travail
Pour le Ceges (Conseil des entreprises, employeurs et groupements de l’économie sociale), la dépendance doit être financée par la solidarité nationale. L’hypothèse de la création d’une véritable cinquième branche de la Sécurité sociale est admise.
Une norme pour la RSE reconnue internationalement... On aurait pu croire que l’Organisation Internationale du Travail, qui rassemble trois des principaux acteurs de l’activité humaine, à savoir les employeurs, les salariés et les États, se saisirait du problème et en émettrait des recommandations.
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