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LCL va « supprimer graduellement » les écarts de rémunération non justifiés
L’accord égalité professionnelle signé en 2007 chez LCL prévoyait de supprimer les écarts de salaires à horizon 2010. « Même si les écarts de salaires entre hommes et femmes semblent se réduire, ceux-ci subsistent », souligne FO qui rapporte que fin 2012, « la rémunération brute annuelle moyenne d’une technicienne était inférieure de 637 € à celle d’un technicien, bien que l’ancienneté soit plus importante chez les femmes pour tous les échelons et que la structure de l’effectif par rapport aux échelons soit plus favorable aux femmes ».
La direction propose d’aménager les objectifs d’un nouvel accord égalité professionnelle à l'horizon 2015. Dans ce contexte, une étude « visera à identifier les écarts de rémunération non justifiés qui pourraient exister au sein de l’entreprise » afin de les « supprimer graduellement ». Une étude conduite début 2012 par le cabinet Secafi avait déjà relevé « des écarts de salaires non justifiés sur certains métiers ».
Alors que la rémunération brute annuelle des femmes cadres était en moyenne inférieure de 6 396 € à celle d’un homme fin 2012, l’accord se fixe un objectif de 34 % de femmes cadres (54 % des hommes sont des cadres). Fin 2015, LCL devrait compter 32 % de femmes cadres supérieurs, contre 31 % aujourd’hui. « Pourquoi pas 50 % ? », s’interroge FO.
La direction propose d’aménager les objectifs d’un nouvel accord égalité professionnelle à l'horizon 2015. Dans ce contexte, une étude « visera à identifier les écarts de rémunération non justifiés qui pourraient exister au sein de l’entreprise » afin de les « supprimer graduellement ». Une étude conduite début 2012 par le cabinet Secafi avait déjà relevé « des écarts de salaires non justifiés sur certains métiers ».
Alors que la rémunération brute annuelle des femmes cadres était en moyenne inférieure de 6 396 € à celle d’un homme fin 2012, l’accord se fixe un objectif de 34 % de femmes cadres (54 % des hommes sont des cadres). Fin 2015, LCL devrait compter 32 % de femmes cadres supérieurs, contre 31 % aujourd’hui. « Pourquoi pas 50 % ? », s’interroge FO.
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