Visite guidée des contenus qui composent le dossier : 11 interviews, 14 cas d'entreprises et 5 focus transversaux - Sur abonnement ou achat à l'unité.

Des focus transversaux

> La situation va-t-elle changer maintenant que les grandes entreprises sont contraintes à négocier ? Certains y voient un risque d’étouffement par le haut...
> La personnalisation des analyses avec une dose de psychiatrie et en n'occultant pas la dimension extra-professionnelle sont autant de terrains glissants qui alimentent régulièrement les « guéguerres » entre les différentes écoles de la prévention des risques psychosociaux.
> Dépressions : seulement 200 demandes annuelles de reconnaissance en maladie professionnelle
> Le point sur la jurisprudence sur le lien de causalité entre suicide et activité professionnelle
> La grande soupe des facteurs de risques psychosociaux au travail
> Les analytiques, les pratiques, les chroniques du quotidien : à combien d’exemplaires se vendent les livres sur les risques psychosociaux ?

Des interviews de dirigeants qui ne rejettent pas en bloc le mot stress

> Michel Hervé, PDG du groupe Hervé Thermique qui emploie 2000 salariés, sur la dilution du stress (format vidéo et texte)
> Jean-René Boidron, ancien président de la commission sociale de CroissancePlus, sur le sens du travail (format vidéo et texte)

Des interviews d'intervenants externes aux analyses complémentaires

• Les psys

> Christophe Dejours, psychiatre et psychanalyste, sur la nécessaire reconstruction du collectif et de la solidarité dans les entreprises
> Philippe Davezies, enseignant-chercheur, sur les incidences du décalage entre le travail réel et le travail prescrit
>  René Gambin, psychothérapeute, sur ces tableaux de bord qui masquent la réalité du travail
> Marie Pezé, psychanalyste, sur le manque d'implication des syndicats
> Emmanuelle Lépine, psychologue clinicienne, sur le sentiment d'impuissance en matière de prévention
> Stéphanie Palazzi, psychiatre, et Jean-Claude Delgenes, DG de Technologia, sur l'observation clinique des cas de suicides dans un cadre global

• Les sociologues

> Norbert Alter, sociologue, sur la reconnaissance du don que représente le travail réel des salariés
> Vincent de Gaulejac, sociologue, sur l'implication subjective et affective des salariés

• Une médecin du travail

> Françoise Mesnard, médecin du travail, sur la dérive que représente la personnalisation de la souffrance au travail

Des cas d'entreprises

• France Télécom Orange

> Les 10 années de préretraites ont été sources de risques psychosociaux pour ceux et celles qui sont restés, attention aux impacts collatéraux du temps partiel seniors qui arrive.
> L’observatoire intersyndical du stress entend se substituer d’une certaine façon au CNSHSCT, le super CHSCT officiel fédérant les 400 CHSCT locaux mais qui ne peut même pas rendre un avis.
> La direction a inventé une « échelle » qui rime avec travail isolé et RPS mais qui pourrait faire économiser plus de 20 millions d'euros par an.

• Renault

> Pourquoi les conditions d'un accord de prévention du stress ne sont-elles pas réunies ?
> Faut-il faire des diagnostics cliniques des victimes de suicide ?
> Comment conjuguer prévention du stress et plan social ?

• PSA

> Deux années de rodage pour déboucher sur un accord sur la prévention du stress

• IBM

> Un projet d’accord de prévention du stress qui n'imposent pas un questionnaire aux médecins du travail
> Un programme national de prévention du stress sans CHSCT et sans impact organisationnel

• Groupe Moniteur

> Des questions sur la transparence des résultats de l'enquête de climat social conduite par l'Aract Ile-de-France

• Oracle

> Le CHSCT n'a pas attendu un suicide pour lancer une expertise.

• GFI Informatique

> L’organisation du travail en question après deux suicides

• Opac de Paris

> Les violences verbales, menaces et agressions physiques des locataires montent en puissance.

• Collectivités locales 

Un dossier associé

> Vers des CHSCT sous influence des directions ?

Dossier complet sur les limites de la procédure d’agrément actuelle des cabinets habilités à intervenir à la demande des CHSCT comme experts. Un agrément dont sont, pour le moment, exclus les cabinets qui interviennent à la demande des directions. Mais les choses vont évoluer alors que la question de la codésignation des intervenants externes est toujours en toile de fond.