Le Cercle des DRH européens est sorti du bois avec sa GAE (gestion active des emplois) le 5 décembre à l’occasion d’une rencontre organisée par l’AJIS. L’idée étant que le droit du travail officialise une pratique qui existe déjà dans plusieurs groupes mais dont les protagonistes tiennent à la discrétion à propos d'accords unanimes pour mettre en œuvre des restructurations ciblées d’une année au maximum, sur des périmètres de métier par exemple ou un site, avec de la mobilité externe et aussi des reclassements en interne, toujours sous la forme du volontariat.

Ces recettes discrètes que les DRH voudraient officialiser pour réduire les délais et les coûts des restructurations ciblées > Retrouvez notre décryptage, sur abonnement.
50 % des PSE pourraient être traités via une GAE, à l’exception des fermetures de sites. L'occasion de réduire le coût des restructurations, notamment parce qu'il n’y aurait pas la tentation « de charger la barque » , comme avec les PSE et PDV classiques.